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Vêtement Vertical avis : test terrain et retours d’expérience

La marque de vêtements outdoor Vertical est-elle à la hauteur de sa réputation ? On a passé en revue les tests et avis, pour nous faire un avis définitif.

16 min
Équipement & Matériel
13 September 2025 à 18h15

Si vous êtes comme moi, la simple évocation d’une marque de vêtements de montagne vous évoque immédiatement : 1) une pub sur YouTube, 2) un post Instagram sponsorisé, 3) une story d’un influenceur que vous avez cessé de suivre depuis longtemps. Et pour cause : depuis quelques années, Vertical s’est lancée à l’assaut du marché des vêtements techniques outdoor avec une stratégie redoutable. La promesse ? Des vêtements ultra-techniques, ultra-légers et ultra-compacts, le tout à des prix défiant toute concurrence. Mais derrière la communication léchée, que vaut vraiment la marque sur le terrain ? Est-elle aussi performante qu’elle le prétend, ou bien n’est-elle qu’un bon coup marketing ? Pour le savoir, on a fouillé dans les tests et les avis. On vous dit tout.

Vertical : outsider des vêtements outdoor, que vaut vraiment la marque ?

Allez hop, on range l’ego dans le sac à dos et on attaque direct : qui, franchement, se rue sur du Vertical en pensant damer le pion à Arc’ ou Millet ? Voilà une marque qui s’infiltre discrètement sur les sentiers alors que tout le monde déballe son matos dernier cri. Moi, Basile Chartier, chroniqueur du dénivelé et testeur de la gadoue jusqu’à l’aube, j’avoue : j’ai longtemps regardé Vertical avec la même méfiance que devant un cairn bancal au détour d’une épaule herbeuse. Pourtant, il y a cet étrange magnétisme – cette envie malsaine de décortiquer chaque retour d’expérience pour séparer le vrai du storytelling marketing… Vertical, vraie pépite technique ou énième mirage vendu aux rêveurs de sommets ?

Première impression : « Vertical ? Pourquoi pas. Mais ne me fais pas regretter mon Gore-Tex triple épaisseur si la tempête débarque ! »

Premier contact avec Vertical : entre curiosité et méfiance

Bon, soyons honnête : Vertical n’a pas la fanbase hystérique d’autres marques ni les vitrines clinquantes à tous les coins de web. Mais côté tests et avis, il y a quand même de quoi fouiner. Sur Montagnes Magazine ou Outzer, les retours sont souvent similaires :

  • Légèreté clairement appréciée (sac à dos affiné, portance préservée)
  • Compacité redoutable pour le ski rando ou la fast-hike
  • Membranes généralement jugées respirantes… mais bon, avec parfois quelques réserves sous grosse intensité
  • Coupe souvent bien pensée pour le mouvement (ouf, adieu les manches trop courtes)
  • Rapport qualité-prix salué par ceux qui veulent éviter l’abus tarifaire du tout-marketing
  • En bémol : interrogation récurrente sur la robustesse au long cours dès qu’on sort du balisage – abrasion prématurée signalée par certains utilisateurs acharnés

En somme, une réputation solide côté praticité et confort terrain, mais une durabilité à surveiller.

La promesse de Vertical : légèreté, compacité et performance. Mythe ou réalité ?

Leur argumentaire cible précisément ce que recherchent les amateurs : un équipement léger comme une plume sans sacrifier la protection en montagne. Sur le papier (et dans leurs pubs), c’est un peu l’eldorado du minimaliste efficace ! Reste que sur le terrain réel (boue printanière incluse), j’ai déjà vu des coutures tirer la tronche après plusieurs sorties techniques.

Ma dernière virée avec leur shell MP+ m’a laissé dubitatif : ultra-légère en montée raide (le rêve pour ne pas cuire) MAIS légèrement fébrile si tu te tapes deux jours à frotter contre du granit malpoli. Alors oui : performance indéniable pour celui qui veut optimiser chaque gramme dans son sac — mais attention aux illusions de solidité éternelle. Bref, revenons à nos moutons… ou plutôt à nos bouquetins.

Analyse des vêtements Vertical : points forts et limites

La qualité des membranes : MP+ chez Vertical, ça mouille ou ça respire ?

La membrane MP+, c’est l’enfant terrible de la respirabilité. Elle promet un haut niveau d’imperméabilité et de coupe-vent, tout en étant, sur le papier, plus respirante que les ténors du marché. Pour ceux qui aiment les chiffres rares : avec une RET autour de 2,7 (c’est bas, donc très respirant), MP+ fait mieux que pas mal de membranes trois couches concurrentes – mais certains tests pointent un bémol en cas de déluge prolongé.

La MP+ est l’alternative maison à la grosse artillerie type Gore-Tex. Sur le terrain ? Bah… J’ai eu zéro coup de chaud en brasse montagne sous pluie fine/mollet dans la gadoue. Par contre, une journée entière à se faire rincer façon essorage : l’imperméabilité tient mais on sent que ce n’est pas une carapace indestructible. Clairement orientée pour ceux qui préfèrent ventiler vite plutôt que finir en étuve !

Résumé : Si tu veux du matos qui respire vraiment sans craindre la douche rapide, MP+ coche beaucoup de cases. Pour le bivouac sous déluge ou la cascade de glace, prends tes précautions…

Confort et coupe : est-ce que ça taille bien pour nos aventures ?

On ne va pas tourner autour du rocher : côté confort, Vertical vise large… mais sans tomber dans le sac à patates non plus. La marque annonce vouloir s’adapter aux morphologies « réelles » des pratiquants outdoor (bye bye manches trop courtes et vestes étriquées au torse). Sur moi – épaules XXL et hanches rustiques – franchement le fit est bon ! Liberté sur les mouvements d’ascension nickel, pas d’effet blocage même quand je sors le piolet pour jouer au bouquetin sous tension.

Remarque : certains avis signalent que la coupe peut parfois manquer de précision (surtout sur certaines tailles intermédiaires). Mais honnêtement : pour brasser en poudre ou farter du D+, on reste dans le très correct.

Les détails qui font la différence : poches, zips et autres petits luxes montagnards

On ne parle jamais assez des vrais détails qui tuent. Chez Vertical ? Poches pensées pour être accessibles avec baudrier ou sac chargé (merci). Les zips étanches sont souvent estampillés YKK – valeur sûre contre les galères d’ouverture bloquée par le givre. Capuche réglable facile même avec des moufles épaisses et cordons robustes (pas des ficelles à gigot comme sur certains modèles discount).

Détail technique d'une veste Vertical avec zip étanche

Petit bémol personnel : parfois un zip poitrine placé trop haut pour mon goût (mais chacun sa morpho). Globalement : finition simple mais diablement efficace.

Le rapport qualité-prix : un argument de poids ou une fausse bonne idée ?

C’est ici que réside le véritable enjeu. Vertical a toujours joué sur un positionnement tarifaire plus abordable – sans sacrifier totalement la techno. Alors oui, côté innovation pure on n’atteint pas le niveau bling-bling d’un Arc’Teryx bourré d’inserts laser… mais MÉGA avantage : tu payes beaucoup moins cher ton entrée sur les sentiers techniques.

Certains regrettent encore quelques compromis (un petit détail mal fini ici ou là), mais honnêtement vu le ticket final : c’est rarement une arnaque. Idéal si tu veux upgrader sans hypothéquer ta saison prochaine ! Pour résumer : si tu acceptes deux ou trois concessions mineures, c’est clairement une affaire à glisser dans ta to-do avant la prochaine chute de neige.

Les vêtements Vertical à la loupe : nos coups de cœur et nos déceptions

Vestes Vertical : entre hardshell et softshell, laquelle choisir pour quel usage ?

Le débat hardshell ou softshell ne date pas d’hier, mais chez Vertical, les distinctions sont claires. Une veste hardshell (genre Shell Light Jkt ou Mythic MP+) c’est la barrière anti-douche intégrale – genre tu passes la journée à encaisser des bourrasques ou un mix pluie-neige bien sale. L’imperméabilité l’emporte sur tout, au détriment du silence et de la souplesse : parfait pour l’alpinisme engagé, le ski de rando quand ça tabasse au sommet ou la cascade de glace où chaque goutte compte.

À l’inverse, une softshell (type Softshell Light Jkt) tablera sur la respirabilité et un confort stretch taillé pour l’effort prolongé par météo fraîche-sèche. C’est la pièce fétiche pour la rando rapide, les sorties en forêt humide sans craindre le lessivage complet ou encore l’escalade en conditions instables. Résistance au vent plutôt balèze, déperlance correcte… mais clairement pas une armure contre l’orage.

Usages typiques selon veste :
- Hardshell : alpi hivernal, ski hors piste, raid expé.
- Softshell : fast-hiking automnal, rando technique à la journée, grimpe printanière.

Petit bonus Vertical : les modèles compacts se glissent facilement dans le sac. La Mythic MP+ reste LA valeur sûre côté protection poids plume (si tu restes réaliste sur la durabilité…).

Pantalons et salopettes Vertical : le confort par tous les temps.

Le pantalon Windy Spirit Pant MP+ ? Un classique increvable chez les puristes du D+. Je me suis trimballé ce modèle trois saisons d’affilée sur des couloirs nord verglacés et franchement : coupe dynamique, stretch quadri-directionnel (liberté totale), renforts bien placés… Le Windy Ultra Pant MP+, c’est pareil en version allégée : super pour le ski de rando printanier ou les longues marches engagées.

Ce qui ressort des avis :
- Robustesse suffisante même pour l’alpinisme « sale » (pas mal de retours positifs sur l’usure tardive)
- Protection correcte contre neige humide et frottements rocheux
- Petits regrets sur certaines finitions (bretelles parfois basiques), mais vu le prix...

Bref : j’ai jamais fini avec les cuisses trempées ni explosé une couture sur une traversée – pour moi c’est validé pour qui ne cherche pas que du tape-à-l’œil technique !

Les pièces phares : Down Jacket Evo, Mythic MP+, Shell Light Jkt et compagnie. Mon avis sans filtre.

Bon alors là on sort l’artillerie maison…
- Aeroquest Hybrid Jacket : bonne isolation active mais attention si vent fort persistant (manches un peu courtes à mon goût).
- Alpin Shirt & Obrac Shirt : parfaites en sous-couche dynamique ; séchage express après effort intense (testé après un brassage surprise dans une combe à moitié fondue – merci le printemps).
- Down Jkt Evo : gros apport thermique sans effet bibendum. Portée dans un refuge paumé après une galère météo imprévue – je pensais finir gelé dans ma fierté… ben non !
- Shell Light Jkt / Mythic MP+ : ultra compactes, zips fiables et aucune fuite lors d’une sortie « tempête surprise », même si après 48h de portage la toile commençait à accuser le coup côté abrasion.
- Technical Fleece Jacket : intermédiaire efficace lors des pauses longues — chaleur sèche immédiate.
- Anecdote inavouable : il m'est arrivé de me planter royalement d'itinéraire lors d'une reco automnale solo... Plus de GPS ni balisage pendant 8h sous bruine glacée – seule ma vieille Mythic MP+ a empêché mes fringues de moucher rouge. Moralité : t’as pas toujours besoin du logo le plus cher pour repartir vivant !

Pour approfondir vos connaissances sur l’équipement en montagne, consultez notre guide sur les bases de l'alpinisme.

Les accessoires : pour compléter votre panoplie sans se ruiner.

Côté accessoires chez Vertical – bonnets polaires, gants coupe-vent ou tours de cou basiques –, rien d’exotique mais ça fait clairement le job sans ruiner ton budget café-refuge. Les gants légers sont pratiques en transition printanière (pas testés sous blizzard évidemment), bonnets chauds corrects en altitude modérée. Ce n’est pas là que tu trouveras LA révolution textile du siècle… mais on ne t’en demande pas tant pour compléter ton arsenal saisonnier avec efficacité !

Détail d'un zip étanche sur une veste Vertical Shell Light Jkt

Vertical face à la concurrence : est-ce qu'on peut comparer avec Arc'Teryx ou Millet ?

On va pas se mentir : mettre Vertical dans la même moulinette qu’Arc’Teryx ou Millet, ça sent le duel de David contre deux Goliath blindés de brevets et de marketeurs. Pourtant, le terrain ne ment pas : la portance d’une veste dans la tempête ou la vraie respirabilité après 1200m de D+ se jugent sur les chiffres ET sur les tripes.

Comparatif des performances clés : Vertical vs Arc'Teryx vs Millet

Tableau comparatif des caractéristiques des vêtements de montagne : Vertical, Arc'Teryx, Millet
Marque Prix moyen (€) Imperméabilité (mm) Respirabilité (RET) Robustesse terrain
Vertical 180-250 15 000 2,7-4,0 ★★★☆☆
Arc'Teryx 400-600 28 000 3,0-5,0 ★★★★★
Millet 300-450 20 000 3,5-6,0 ★★★★☆

En clair : Vertical s’en sort franchement bien côté respirabilité – leur membrane MP+ rivalise avec certaines grosses pointures. Mais pour l’imperméabilité stricte et surtout la durabilité en mode expé’ engagée… c’est là que les géants canadiens et français gardent une longueur d’avance. Les zips YKK de Vertical font le boulot mais leur tissu cède plus vite sous l’abrasion récurrente des granits ou broussailles acérées. Si tu veux aller tâter du mixte au Mont-Blanc ou te faire rincer dans un couloir nord, réfléchis à deux fois.

Pourquoi Vertical est moins cher ? Avantage malin ou compromis caché ?

Si Vertical coûte moins cher que ses concurrents haut de gamme, ce n’est pas uniquement par générosité. Leurs membranes sont conçues maison (MP+) — donc moins chères à produire que les royalties Gore-Tex. Finition plus simple (moins d’inserts techniques, peu de technologies superflues), design parfois minimaliste… tout ça fait baisser la note finale.

Est-ce un avantage net ? Pour celui qui veut s’équiper sans vendre un rein, oui — tant qu’on accepte que le matos ne tiendra pas vingt ans d’ascensions extrêmes ni trois saisons d’alpi hivernal intensif. C’est du solide pour qui fait ses armes hors des itinéraires surfréquentés ; c’est honnête pour ceux qui alternent rando sportive et sorties plus douces.

Quand choisir Vertical plutôt qu'une autre marque ?

C’est pas en restant au parking qu’on verra les chamois : faut tester pour savoir !

Scénarios idéaux pour miser sur Vertical :

  • 🏃 Fast-hike/rando légère où chaque gramme compte et on privilégie la respirabilité.
  • 💸 Petit budget ou besoin d’un équipement technique sans exploser sa CB.
  • 🌄 Usage occasionnel/alpinisme plaisir hors contexte ultra-exigeant.
  • 🚴 Cyclotourisme montagneux où compacité et ventilation priment.
  • 🏕️ Trek itinérant sous météo variable mais non extrême (ex : tour du Queyras printemps).

En résumé : si tu veux maximiser le ratio « efficacité/prix » sans risquer ta peau sur une arête verglacée à -25°C… fichez-moi ça dans votre to-do avant la prochaine chute de neige. Mais si ta passion c’est l’expé gelée au Kamtchatka… passe ton chemin (et révise ton porte-monnaie !).

Bilan final : les vêtements Vertical, à adopter ou à éviter ?

Voici ce qui m'a marqué chez Vertical. La marque mise à fond sur la légèreté (ça se sent sur le dos, pas dans le porte-monnaie), une respirabilité vraiment aboutie pour ceux qui aiment brasser du D+ sans finir en cocotte-minute, et une compacité idéale pour les sacs jamais assez grands. Le rapport qualité-prix est sacrément équilibré : tu t’offres du vrai matos sans vendre ta tente ni hypothéquer ton prochain tour du Queyras. Et franchement : la liberté de mouvement, c’est autre chose que certaines armures trop rigides ! Bref, côté accessibilité technique et confort terrain, c’est validé.

Mais attention, il ne faut pas ignorer ça… Si tu comptes frotter tes fringues toutes les semaines contre le granit ou partir pour un mois d’expé’ sous météo abominable : la durabilité n’est pas celle d’un tank suisse. Abrasion prématurée, coutures fatiguées en usage extrême : mieux vaut savoir où tu mets les pieds (et ta veste) !

Si t’es du genre randonneur régulier, passionné de trek, adepte de la fast-hike ou amateur d’alpi plaisir (on ne juge pas), clairement tu trouveras ton compte chez Vertical. Le pratiquant qui veut rentrer sec après une journée sportive ou partir léger sur plusieurs jours a tout intérêt à regarder cette marque. Pour les néophytes comme pour les initiés qui ne font pas la guerre à la météo tous les week-ends – c’est pile-poil dans le mille. L’expert obsessionnel des arêtes verglacées à -30°C ? Passe ton chemin…

Un alpiniste comparant une veste Vertical à une grande marque au sommet

En conclusion, si vous souhaitez maximiser vos sorties sans exploser votre budget équipement, Vertical mérite une place dans votre liste d’achats. Mais soyez lucide : pour l’extrême et la vraie haute voltige technique, mieux vaut viser plus lourd (et plus cher).

Foire Aux Questions : Vos interrogations sur les vêtements Vertical

FAQ imagée sur les vêtements Vertical pour la montagne, la randonnée et le ski
  • Vertical fait-il du bon matos pour le ski de rando ?
    Oui, clairement. Les vestes et pantalons MP+ sont légers, compacts, et bien respirants – parfaits pour grimper du D+ sans cuire. Mais si tu tabasses la pente chaque weekend, surveille l’usure sur les zones de frottement.

  • Quelle est la durée de vie typique d’une veste Vertical ?
    Pour une pratique régulière mais pas extrême : 3 à 5 saisons sans souci majeur. Si tu pars en expé’ tous les mois ou joues à la brosseuse sur granite, attends-toi à voir des signes de fatigue plus vite (abrasion, coutures).

  • Comment entretenir correctement mon vêtement Vertical ?
    Machine cycle doux, lessive sans phosphate (pas d’adoucissant sinon ta membrane fait grève), séchage à l’air libre. Un petit coup d’imperméabilisant en spray relance la déperlance après quelques lavages – fichez-moi ça dans votre routine !

  • Les coupes conviennent-elles aux morphos musclées ou fines ?
    Plutôt oui ! Les coupes sont pensées pour laisser bouger même avec un sac chargé ou des bras imposants – mais essaye toujours avant si tu veux éviter le look saucisson.

  • Est-ce que c’est fabriqué en France ?
    Non, la conception est française mais la production se fait majoritairement à l’étranger (comme beaucoup de concurrents). Pas la peine d’espérer du pur made in France.

  • Vrai ou faux : Vertical résiste à une tempête hivernale ?
    Vrai… jusqu’à un certain point ! Ça passe nickel pour les grosses giboulées et plusieurs heures sous flotte. Mais pour l’expé’ arctique ou le bivouac sous rideau de pluie non-stop : vise plus épais ou protège ton matos.

Vêtement Vertical avis : test terrain et retours d’expérience

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