Vous pensiez que les prochains Jeux Olympiques d’hiver se déroulaient en 2025 à Turin ? Vous n’êtes (vraiment) pas les seuls. Pour cause : entre les (vrais) JO de 2026 à Milan-Cortina, les Jeux Mondiaux d’Hiver Special Olympics à Turin en 2025, le Festival Olympique d’Hiver de la Jeunesse Européenne qui se tient actuellement au Monténégro, et les différences entre ces événements, il y a de quoi s’y perdre. En réalité, beaucoup confondent les JO 2025 et 2026, et que les Jeux Mondiaux d'Hiver Special Olympics peuvent prêter à confusion avec les Jeux Olympiques. On va démontrer que même si le ski alpinisme est une discipline de montagne exigeante, elle n'est pas au programme des JO, mais que des disciplines comme le bobsleigh ou le short track le sont. On insiste sur le fait que l'organisation de tels événements, même si elle suscite parfois des contestations écologiques ou des actes de sabotage, est un événement majeur qui mérite d'être bien compris par tous, y compris par ceux qui pensent que seul le ski de piste compte. Alors pour éviter de vous prendre un scud en terrasse l’été prochain, on vous a préparé un guide complet des événements sportifs d’hiver 2025 et 2026. Avec tout ce qu’il faut savoir (et bien plus encore).
PS. Un immense merci à nos partenaires de Special Olympics France pour leur relecture et leurs suggestions."}
Jeux d'hiver 2025 : clarifications indispensables 🧐
Bon, soyons clair : si j’entends encore une fois "les JO d’hiver à Turin en 2025", je mange mon bonnet ! Entre les Jeux Olympiques, les Jeux Mondiaux d’Hiver Special Olympics et le Festival Olympique de la Jeunesse Européenne, c’est la soupe à la grimace côté compréhension. Alors, fichez-moi ça dans votre to-do avant la prochaine chute de neige : il n’y a PAS de Jeux Olympiques à Turin en 2025. Les JO d’hiver, les vrais (ceux du Comité International Olympique, le CIO, ceux qui brassent du flocon à coups de millions et d’audimat), c’est en 2026 à Milan-Cortina. Ce qui se passe en 2025 à Turin, ce sont les Jeux Mondiaux d’Hiver Special Olympics – un tout autre univers, avec des valeurs, un public et un objectif différents.
« Les gens pensent que tout ce qui brille est or, et que tout ce qui est hivernal et sportif est olympique, alors que c'est un sacré bazar ! »
Le CIO, lui, orchestre les Jeux Olympiques (et Paralympiques) – c’est le grand barnum planétaire. Special Olympics, ce n’est ni un sous-produit ni une ramification, c’est carrément une autre montagne : leur mission, c’est l’inclusion des personnes en situation de handicap mental via la compétition sportive. Leurs Jeux Mondiaux d’Hiver n’ont rien à voir dans le fonctionnement avec les JO classiques ou les Jeux Mondiaux World Games (qui eux mettent en avant des sports non olympiques… oui, ça donne le tournis).
Jeux Mondiaux d'Hiver Special Olympics à Turin en 2025 : dates, lieu et participants
Allez hop, on range l’ego dans le sac à dos : du 8 au 16 mars 2025, Turin (Torino pour ceux qui aiment la dolce vita italienne) et ses alentours accueilleront plus de 1 500 athlètes et partenaires issus de plus de 100 pays. C’est le grand rendez-vous mondial pour les sportifs présentant une déficience intellectuelle. On y trouve du floorball, du patinage artistique, du ski nordique ou encore des raquettes à neige – et l’ambiance n’a franchement rien à voir avec le stress du chrono en ski alpinisme. Vous voulez vibrer ? C’est pas en restant au parking qu’on verra les athlètes se dépasser !
Festival Olympique d'Hiver de la Jeunesse Européenne 2025 : un tremplin pour les jeunes talents
Bref, revenons à nos... jeunes athlètes ! Le Festival Olympique d'Hiver de la Jeunesse Européenne (FOJE) 2025 aura lieu à Borjomi et Bakuriani en Géorgie, du 9 au 16 février 2025. Rien à voir avec les deux mastodontes précédents : ici, ce sont des espoirs européens de moins de 18 ans qui viennent se frotter aux disciplines olympiques classiques (biathlon, ski alpin, patinage de vitesse sur piste courte…). Une vraie couveuse de futurs cracks – mais pour l’ambiance flambeurs et sponsors XXL, repassez dans dix ans !
Si vous pensiez que tout ces événements finissaient par se ressembler... Non. Entre le CIO, Special Olympics et les festivals jeunesse continentaux, chacun trace sa propre ligne de crête et croyez-moi, vaut mieux avoir la bonne carte IGN sous la main pour s’y retrouver.
Turin 2025 : immersion dans les Jeux Mondiaux d'Hiver Special Olympics 🏅
On ne va pas tourner autour du refuge : les Jeux Mondiaux d’Hiver Special Olympics à Turin en 2025, c’est une autre ambiance que les JO classiques où ça joue du bâton pour un centième de seconde. Ici, l’inclusion et la joie de partager la montagne priment sur l’obsession du podium. Mais attention, ça ne veut pas dire qu’on s’y balade en peignoir : le niveau technique est là, tout comme la diversité des disciplines. Fichez-moi ça dans votre to-do avant la prochaine chute de neige : comprendre la richesse du programme !
Programme sportif : disciplines des Jeux Mondiaux d'Hiver Special Olympics
Soyons honnêtes : qui, dans la vallée, mettrait le floorball et le short track sur la même affiche que le ski alpin ? Pourtant, c’est bien ça l’esprit Special Olympics : casser les codes, élargir les horizons. En 2025 à Turin, les athlètes seront répartis dans ces disciplines officielles :
- Ski alpin : virages serrés, portance sur pente raide, exigeant en technique et endurance.
- Ski de fond (cross-country skiing) : gestion de l’effort en terrain varié, endurance mentale.
- Snowboard : pour les amateurs de sensations sur la carre.
- Patinage artistique (figure skating) : performances artistiques et techniques.
- Patinage de vitesse sur piste courte (short track) : vitesse et contacts dans les virages serrés.
- Floorball : hockey sur parquet avec balle trouée, sport d’équipe dynamique.
- Raquettes à neige (snowshoeing) : déplacement sur neige profonde, technique spécifique.
- DanceSport : danse sportive, sur glace ou au sol selon l’organisation.
Et non, le ski alpinisme – cette discipline où on brasse de la poudre entre deux conversions – n’y a pas sa place. Peut-être qu’un jour on verra une montée sèche avec peaux de phoque chez Special Olympics… mais pour 2025, ce sera sans piolet, faut s’y faire !
« La vraie diversité des sports d’hiver ne réside pas uniquement dans la neige ou la glace, mais dans l’énergie collective mise à dépasser les clichés. »
Les sites emblématiques qui accueilleront les compétitions à Turin et aux alentours
On sort le topo ! Les épreuves n’auront pas toutes lieu dans la ville même – Turin est surtout le camp de base logistique. Les montagnes environnantes accueillent le gros du spectacle :
- Sestriere : Le spot mythique pour le ski alpin – déjà arpenté lors des JO 2006. Haute altitude, qualité de neige, ambiance station chic… On n’y fait pas du hors-piste clandestin mais du slalom encadré !
- Bardonecchia : Temple du snowboard depuis 2006, dénivelé franc et snowpark pour tous niveaux. Petite anecdote : c’est ici qu’a été fondé en 1908 l’un des plus anciens clubs de ski italien – autant dire qu’on connaît la pente.
- Pragelato : Capitale du ski nordique local, avec des pistes qui filent dans le silence du Val Troncea. On y a vu passer les fondeurs olympiques comme les raquetteurs nationaux.
- Inalpi Arena/PalaAlpitour (Turin) : Patinage artistique & short track dans une enceinte où on entendrait voler un crochet lors d’un Gala.
Bref, oubliez l’image poussiéreuse de la montagne inatteignable – chaque site est pensé pour l’accessibilité physique ET mentale.
Special Olympics : un vecteur d'inclusion et de dépassement de soi
Bon, soyons franc : si vous croyez encore que Special Olympics c’est « mignon » mais sans enjeu… faites-moi plaisir, allez voir une compétition. C’est là qu’on comprend ce que « dépassement » veut dire. L’idée centrale : chaque personne a droit à sa place sur la ligne de départ, quel que soit son niveau, son handicap ou son parcours. La mission affichée ? Mettre un terme à la discrimination et donner à chaque participant la reconnaissance qu’il mérite.
Ici, l’inclusion ne se limite pas à coller une rampe devant la buvette. C’est une révolution douce où on joue ensemble, avec ou sans déficience intellectuelle. Certains athlètes ont vu leur confiance exploser en prenant part aux épreuves ; beaucoup repartent avec une estime d’eux-mêmes décuplée, un réseau d’amis international… et parfois une médaille qui vaut tous les sommets du Piémont. Anecdote véridique : lors d’une précédente édition, c’est un fondeur autrichien de 66 ans (!) qui a fait vibrer tout le stade en franchissant la ligne sous la tempête, acclamé comme un héros – parce qu’ici, seul l’effort compte.
Special Olympics prouve chaque année que le sport peut casser des barrières plus solides qu’un mur de glace au petit matin. Et non, ce ne sont pas des paroles creuses sorties d’un PowerPoint marketing : c’est du vécu sur piste !
Direction l'Italie : Où et quand se dérouleront les Jeux Olympiques d'Hiver 2026 ? 🇮🇹
Bon, soyons clair : ceux qui pensent que les JO d’hiver, c’est juste une affaire de stations huppées ou de fondeurs suédois, vont devoir revoir leur topo. En 2026, la carte du grand cirque blanc s’étale sur deux pépites italiennes : Milan et Cortina d’Ampezzo. On laisse de côté le folklore des cousinades sportives, ici c’est la grosse logistique olympique made in Italy.
Milan et Cortina d'Ampezzo : les deux villes hôtes des XXVes Jeux Olympiques d'Hiver
Milan, capitale économique qu’on ne présente plus (sauf à ceux qui confondent encore le Duomo avec un téléphérique), aura la lourde tâche d’accueillir la plupart des sports sur glace : patinage artistique, short track, hockey sur glace et autres réjouissances pour amateurs de portance à faible friction. Direction la Lombardie pour la modernité urbaine, les palais étoilés et les infrastructures dernier cri (merci la Fondation Milano Cortina 2026, Vincenzo Novari à la baguette managériale, Giovanni Malagò en chef d’orchestre institutionnel).
Mais c’est du côté de Cortina d’Ampezzo – la "Reine des Dolomites" – que les puristes du brassage en poudre et des descentes de folie vont retrouver un air de déjà-vu (Cortina, c’était déjà LA scène des JO 1956). Côté Vénétie, on sort le grand jeu : pistes vertigineuses pour le ski alpin à l’Olimpia delle Tofane, bobsleigh sur la mythique Eugenio-Monti, saut à ski à Predazzo (Val di Fiemme), et biathlon à Anterselva. Ajoutez à ça Bormio pour les descentes de malades, Livigno pour le freestyle/snowboard, et vous avez un patchwork régional qui ferait passer une étape du Giro pour une réunion Tupperware.
Le calendrier détaillé des JO d'hiver 2026 : dates clés et déroulement
Fichez-moi ça dans votre agenda avant que votre forfait saison expire : les Jeux Olympiques d’hiver 2026 se tiendront du 6 au 22 février. Ça commence avec une cérémonie d’ouverture prévue le 6 février – généralement un barnum pyrotechnique sur fond d’hymne déformé, et ça se termine le 22 février par la clôture au sommet du show télévisuel (et des embouteillages autoroutiers post-olympiques !). Durant près de deux semaines, c’est une avalanche de compétitions avec, chaque jour, des médailles en jeu.
Les 16 sports au programme : des disciplines phares aux nouveautés
Bon, on arrête tout : voici les 16 disciplines olympiques qui rythmeront le mois de février 2026 – pas de jaloux, il y en a pour tous les goûts, même ceux qui pensent que la montagne c’est du ski de piste ou rien :
- Ski alpin
- Biathlon
- Bobsleigh
- Combiné nordique
- Curling
- Hockey sur glace
- Luge
- Patinage artistique
- Patinage de vitesse
- Patinage de vitesse sur piste courte (short track)
- Saut à ski
- Skeleton
- Ski acrobatique (bosses, saut acrobatique, half-pipe…)
- Ski de fond (ski nordique)
- Snowboard
- Ski alpinisme (nouveau ! Oui, cette fois c’est vrai : le ski alpinisme fait son entrée)
Non, le floorball ou la raquette à neige restent au parking – on ne mélange pas tout !
Anecdote qui fâche : L’introduction du ski alpinisme, dite "Skimo", a bien fait grincer des dents chez les puristes du CIO et chez ceux qui n’y voient qu’une lubie de montagnards. Pourtant, son inclusion répond à une vraie attente des pays alpins et pyrénéens. Mais faut pas non plus rêver : il y aura peu d’épreuves, et sûrement pas de montée sèche type guide de refuge…
Infrastructures et enjeux organisationnels : un défi logistique majeur
On passe à la caisse ! Organiser les JO d’hiver à cette échelle, c’est plus compliqué que d’installer une corde fixe au sommet du Mont Blanc. Entre rénovations lourdes et créations ex-nihilo, c’est la valse des pelleteuses.
- Olimpia delle Tofane : rénovée pour l’occasion, elle accueillera les épreuves féminines de ski alpin.
- Piste Eugenio-Monti : reconstruite pour le bobsleigh/skeleton/luge – chantier titanesque avec gestion des flux… et des polémiques écologiques.
- Giuseppe-Dal-Ben (Val di Fiemme) : saut à ski et combiné nordique.
- Oval Lingotto (Turin) : patinage de vitesse.
- Mediolanum Forum (Milan) : patinage artistique.
- Anterselva/Antholz : biathlon – site déjà mythique pour les connaisseurs.
- Bormio : ski alpin masculin.
- Livigno : ski freestyle/snowboard.
- Predazzo : saut à ski.
Et côté organisation, la Fondation Milano Cortina 2026 devra gérer une flotte de bus électriques, sécuriser tous ces sites dispersés, loger une marée de volontaires internationaux… Bref, c’est pas un simple week-end à la neige, c’est une expédition de haute volée où chaque retard de grue fait trembler Vincenzo Novari et Giovanni Malagò.
« À Milan-Cortina 2026, c’est toute une Italie qui s’organise à grande échelle – si vous ne sentez pas encore l’odeur du béton frais et de la neige damée, votre boussole est restée au fond du tiroir ! »
Derrière les Événements : Aspects Pratiques, Controverse et Anecdotes Montagnardes 🏔️
Préparez votre séjour (si vous êtes un supporter chanceux) : billetterie et voyages
Bon, soyons clair : assister aux JO d’hiver 2026 à Milan-Cortina, ça ne s’improvise pas. Les billets, eux, sont déjà dans le starting-blocks depuis début 2025. Prix d’appel autour de 30 euros (oui, pour une ambiance XXL c’est presque donné – mais faut pas rêver pour la finale de hockey !). Achat uniquement via la plateforme officielle du CIO… fuyez comme la peste les sites obscurs promettant des packs miracles. L’Italie reste l’Italie : le café est bon partout, mais les arnaques guettent à chaque coin de comptoir.
Côté hébergement ? Milan sature niveau hôtels dès qu’on approche février. Cortina n’est pas en reste : les locations s’envolent plus vite qu’un fartage au vent. Bref, réservez tôt ou visez les villages alentours avec navette (prévoyez large pour les déplacements – entre Lombardie et Dolomites, le chrono fond). Le train reste la meilleure solution entre grandes villes ; sur place, guettez les bus électriques mis en place spécialement pendant les Jeux.
Et croyez-moi, voyager en Italie pendant les JO ce n’est pas juste voir du sport, c’est plonger dans une marmite humaine. Allez hop, on range l’ego dans le sac à dos et on anticipe ses réservations si on veut éviter de dormir sur la banquette arrière d’une Panda !
Les enjeux écologiques et les contestations : quand la montagne s'exprime
Bon alors… organiser des JO d’hiver en 2026 sans déclencher un séisme écologique ? Mission quasi-impossible selon certains militants. Entre bétonnage d’hôtels et transports carbonés (le déplacement des spectateurs = jusqu’à 80% des émissions de GES…), la promesse d’événement « 100% écoresponsable » fait lever quelques sourcils – et parfois plus.
Le comité Milano-Cortina jure main sur le cœur vouloir limiter l’impact : usage prioritaire d’infrastructures existantes (merci Turin 2006), flotte de navettes électriques pour relier vallées perdues et stades rutilants… Mais il suffit de traîner à Sestriere hors saison pour voir que tout n’est pas si vert. Des collectifs locaux tirent déjà la sonnette d’alarme sur le risque de voir la faune dérangée ou des vallées sacrifiées sur l’autel du direct TV. Bref, râlerie légitime ou doux rêveurs ? Impossible à trancher sans enfiler soi-même les raquettes à neige pour aller vérifier.
Anecdote : Le sabotage, une menace réelle ou une tempête dans un verre d'eau ?
Anecdote toute fraîche : lors des récents JO parisiens (été hein – mais ne chipotons pas), des réseaux ferroviaires se sont retrouvés victimes de coupures orchestrées pile pendant l’ouverture des Jeux ! Et côté hiver ? Si vous cherchez LE grand sabotage alpestre façon film catastrophe… désolé. Par contre – ça oui – il y a toujours le petit malin qui décroche deux drapeaux ou repousse une signalisation pour dénoncer « la bétonisation sauvage ».
En réalité ? La plupart du temps ces actions font plus parler qu’elles ne perturbent vraiment le programme olympique. En 2006 à Turin déjà, un collectif avait repeint discrètement plusieurs panneaux menant au site nordique pour pointer du doigt l’impact écologique… Résultat ? Trois micros retards et un gros sujet dans la presse locale ; puis tout le monde a filé voir Alberto Tomba signer des autographes ! Le sport finit presque toujours par reprendre ses droits – mais faut jamais sous-estimer le pouvoir du symbole dans nos montagnes.
Flashback : L’héritage des JO d’hiver en Italie (Cortina 1956, Turin 2006)
Petit clin d’œil dans le rétro : avant Milan-Cortina 2026, l’Italie avait déjà fait vibrer la planète blanche deux fois. Cortina 1956, c’était l’éveil moderne du ski transalpin – station propulsée star internationale grâce aux Jeux, infrastructures routières décuplées (et quelques hôtels-casernes encore debout cinquante ans plus tard…).
Turin 2006, c’est autre chose : explosion de fréquentation touristique post-événement (+20% rien qu’en 2007), modernisation radicale des transports locaux et retour en force du Piémont sur toutes les cartes postales hivernales. Certes tout n’a pas été parfait – certaines réalisations sont restées sous-exploitées après la fête –, mais impossible d’oublier cet effet boost : même sonorisé par quelques râleurs endurcis !
Au final ? L’Italie sait organiser (presque) sans fausse note. Qui n’a jamais vu Alberto Tomba descendre à fond ou croisé Federica Pellegrini soutenir ses collègues patineurs ne comprend pas ce que "héritage olympique" signifie sous nos latitudes !
Synthèse des événements sportifs d’hiver 2025 et 2026
Dates et événements clés en 2025 et 2026
Allez, on fait simple : 2025, Turin accueille les Jeux Mondiaux d’Hiver Special Olympics du 8 au 16 mars, réservés aux athlètes avec déficience intellectuelle – pas de confusion, pas de CIO là-dedans. 2026, Milan et Cortina, place aux vrais JO d’hiver (CIO, médailles olympiques et tout le cirque) du 6 au 22 février. Deux événements, deux philosophies, deux ambiances, zéro excuse pour mélanger les skis ! Tous les détails pratiques et sportifs sont disponibles : Programme spécial JO d'Hiver 2026 ; Tout savoir sur Turin 2025.
Conseils pour profiter pleinement de la saison hivernale sportive
Ne restez pas passif devant la télévision ou à critiquer sur les réseaux sociaux. Ouvrez les yeux, assistez aux compétitions, soutenez aussi bien les champions que les outsiders. Essayez une nouvelle discipline, testez la raquette à neige si le ski ne vous séduit plus, ou découvrez un match de floorball (oui, ce sport existe et il est bien plus amusant que vous ne le pensez). L’hiver ne se limite pas à la descente : les émotions sont aussi fortes sur la piste que sous les projecteurs des Special Olympics. Si malgré tout vous confondez encore les événements, venez me retrouver au pied des pistes – la tisane sera chaude et la remise à niveau rapide ! Vive la montagne, la diversité et le sport sans préjugés !
